Le dernier baromètre du spécialiste de l’assurance vie et des SCPI Altaprofits montre que près de la moitié des Français privilégient avant tout la constitution d’une épargne de précaution.

Alors que l’épargne des Français reste au cœur des stratégies de relance économique, le dernier baromètre du spécialiste de l’assurance vie et des SCPI Altaprofits, révèle un profond manque de connaissance des épargnants, à la fois sur les mécanismes de l’épargne mais aussi sur ses enjeux vis-à-vis de la retraite.

Interrogés fin août par l’Ifop, 83% des français déclarent détenir au moins un produit d’épargne dans un établissement bancaire ou financier, 53% en détenant plusieurs. Ils affirment posséder en moyenne près de 40.000 € mais ce montant moyen dissimule une importante hétérogénéité : parmi les Français se prononçant, 42% déclarent en effet posséder moins de 5.000€ (dont 22% moins de 1.000€) tandis que 12% déclarent détenir plus de 80.000 € en produits d’épargne. 44% alimentent cette épargne au moins une fois par mois, et les trois quarts (74%) d’entre eux au moins une fois tous les six mois.

Epargne de précaution

Si pour 27% de ceux possédant au moins un produit d’épargne, cela sert avant tout à financer un projet, près de la moitié (46%) déclarent que la principale raison qui les poussent à épargner est de constituer une épargne de précaution, pour faire face aux imprévus. Cela rejoint bien sûr le constat de forte augmentation de l’épargne de précaution déversée sur des supports sans risques depuis la crise sanitaire.

Nouveau système de retraite

Toujours d’après ce sondage Ifop pour Altaprofits, l’impact du projet de nouveau système de retraite à points sur leur propre situation n’est pas clair pour 66% des français. Et une importante proportion (40%) d’entre eux ne sait pas vers quel interlocuteur se tourner pour répondre à leurs questions ou demander des conseils sur la préparation de leur retraite. Ils sont même 35% à compter sur leurs propres moyens pour chercher de l’information.

Piètres connaissances

Ce sondage confirme aussi les piètres connaissances des Français en matière d’épargne. Invités à estimer leur niveau de connaissance, ils ne s’octroient même pas la moyenne, avec un score moyen atteignant seulement 4,95/10. Cette autoestimation de connaissances est confortée par le fait que si 69% des Français ont su reconnaître la définition de l’inflation parmi différentes propositions, seulement 52% ont su identifier celle du rendement. Au global, moins d’1 Français sur 2 (42%) semble connaître la signification de ces 2 termes qui sont pourtant des fondamentaux de l’économie… Le gouvernement a bien conscience de ces faiblesses et vient justement de lancer des conférences pédagogiques destinées à sensibiliser le grand public au rôle de l’épargne dans le financement de l’économie.

Accompagnement d’un professionnel

Voilà qui montre aussi l’étendue du rôle de l’accompagnement d’un professionnel. « Un des grands enseignements de cette étude est la fragilité identifiée chez les épargnants Français quant à leur capacité à évaluer et à agir sur leur situation économique. D’une part parce que le rôle du banquier a beaucoup évolué ; il n’est désormais plus leur interlocuteur de référence en matière d’épargne puisque les Français préfèrent chercher de l’information par leurs propres moyens », commente Stellane Cohen, Directrice Générale d’Altaprofits.

Alors que l’épargne des Français reste au cœur des stratégies de relance économique, le dernier baromètre du spécialiste de l’assurance vie et des SCPI Altaprofits, révèle un profond manque de connaissance des épargnants, à la fois sur les mécanismes de l’épargne mais aussi sur ses enjeux vis-à-vis de la retraite.

Interrogés fin août par l’Ifop, 83% des français déclarent détenir au moins un produit d’épargne dans un établissement bancaire ou financier, 53% en détenant plusieurs. Ils affirment posséder en moyenne près de 40.000 € mais ce montant moyen dissimule une importante hétérogénéité : parmi les Français se prononçant, 42% déclarent en effet posséder moins de 5.000€ (dont 22% moins de 1.000€) tandis que 12% déclarent détenir plus de 80.000 € en produits d’épargne. 44% alimentent cette épargne au moins une fois par mois, et les trois quarts (74%) d’entre eux au moins une fois tous les six mois.

Epargne de précaution

Si pour 27% de ceux possédant au moins un produit d’épargne, cela sert avant tout à financer un projet, près de la moitié (46%) déclarent que la principale raison qui les poussent à épargner est de constituer une épargne de précaution, pour faire face aux imprévus. Cela rejoint bien sûr le constat de forte augmentation de l’épargne de précaution déversée sur des supports sans risques depuis la crise sanitaire.

Nouveau système de retraite

Toujours d’après ce sondage Ifop pour Altaprofits, l’impact du projet de nouveau système de retraite à points sur leur propre situation n’est pas clair pour 66% des français. Et une importante proportion (40%) d’entre eux ne sait pas vers quel interlocuteur se tourner pour répondre à leurs questions ou demander des conseils sur la préparation de leur retraite. Ils sont même 35% à compter sur leurs propres moyens pour chercher de l’information.

Piètres connaissances

Ce sondage confirme aussi les piètres connaissances des Français en matière d’épargne. Invités à estimer leur niveau de connaissance, ils ne s’octroient même pas la moyenne, avec un score moyen atteignant seulement 4,95/10. Cette autoestimation de connaissances est confortée par le fait que si 69% des Français ont su reconnaître la définition de l’inflation parmi différentes propositions, seulement 52% ont su identifier celle du rendement. Au global, moins d’1 Français sur 2 (42%) semble connaître la signification de ces 2 termes qui sont pourtant des fondamentaux de l’économie… Le gouvernement a bien conscience de ces faiblesses et vient justement de lancer des conférences pédagogiques destinées à sensibiliser le grand public au rôle de l’épargne dans le financement de l’économie.

Accompagnement d’un professionnel

Voilà qui montre aussi l’étendue du rôle de l’accompagnement d’un professionnel. « Un des grands enseignements de cette étude est la fragilité identifiée chez les épargnants Français quant à leur capacité à évaluer et à agir sur leur situation économique. D’une part parce que le rôle du banquier a beaucoup évolué ; il n’est désormais plus leur interlocuteur de référence en matière d’épargne puisque les Français préfèrent chercher de l’information par leurs propres moyens », commente Stellane Cohen, Directrice Générale d’Altaprofits.

Publié par Olivier Cheilan |

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