NON
La communauté universelle avec clause d’attribution intégrale assure une protection financière optimale aux époux. Lors du décès de l’un d’eux, il n’est même pas utile d’ouvrir la succession : le survivant reçoit automatiquement l’intégralité des biens. Comme dans un héritage entre conjoints, il ne paie pas de droits de succession.
En revanche, les enfants qui n’héritent qu’au second décès en paient davantage, car ils ne profitent qu’une fois de l’abattement successoral entre parent et enfant de 100.000 euros.