Résidence seniors : diversifier ses revenus et son patrimoine
Prix immobiliers concurrentiels, niveaux de rentabilité élevés, marché extrêmement prometteur… La résidence seniors s’avère être un placement stratégiquement très intéressant dans l’univers de l’immobilier géré.
Résidence seniors : un marché en devenir
La résidence seniors est l’un des marchés d’avenir qui connaît un essor croissant depuis quelques années. Et pour cause : près de 22,4 millions de personnes de plus de 60 ans sont attendues dès 2050 et la hausse de l’espérance de vie des personnes en bonne santé se poursuit. En 2012, sur le territoire français, un peu moins de 400 résidences seniors en exploitation sont répertoriées, soit environ 32 000 logements pour quelques 41 000 seniors. Pourtant, près de la moitié des 50/65 ans ne veulent pas rester seuls chez eux et envisagent d’intégrer ce type de résidence. Pour réussir son investissement, il est important de miser sur les résidences situées en centre-ville d’agglomérations de plus de 100 000 habitants, proches des commerces, des transports en commun et dotées d’un parking. En effet, les habitants des résidences seniors sont, pour la plupart, encore très actifs.
Investir en résidence seniors : une rentabilité dynamique
Les niveaux de rendements moyens constatés pour ces biens immobiliers avoisinent les 4 % brut et sont garantis par le bail commercial signé avec l’exploitant. Le propriétaire touche donc des loyers sécurisés, même en période de vacance locative. À noter que les impayés sont rares avec les seniors, tranche de la population ayant le plus gros pouvoir d’achat et qui dispose, en plus de leurs revenus financiers, de patrimoniaux importants.
Immobilier géré : une fiscalité attractive
Comme tout investissement en résidence gérée, la résidence senior offre à l’acquéreur des avantages fiscaux de taille. Ce dernier peut réaliser son investissement dans le cadre du statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP). Ainsi, il profite du remboursement de la TVA à 20 % sur le prix du logement et de l’Amortissement Réputé Différé (ARD) sur le bien immobilier et le mobilier. Ce mécanisme lui permet de toucher des loyers nets d’impôts, pendant une période généralement comprise entre 20 et 25 ans. L’investisseur obtient alors un revenu complémentaire totalement défiscalisé.